Exposition en résonance avec la Biennale de Lyon 2015/FOCUS
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Kacem Noua peint des traces de peinture. Littéralement, exactement.
Ses «tableaux» en adoptent les contours irréguliers et ne racontent pas d’histoires.
Leur surface est lisse mais ils dépeignent d’importantes matières qui semblent flotter dans un espace peu profond mais qui restent aérienne, comme en lévitation.
Kacem Noua peint de la peinture et son dispositif lui permet de reposer la question de son sujet. En se jouant de paradoxes (volumes plats, abstractions figurées…), ses œuvres nous interrogent sur ce que nous voyons, elles questionnent notre discernement pour mettre en échec nos certitudes.

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